Foire-braderie de la Saint-François : La foule des grands jours, mais peu d'acheteurs.
Hélène Vaucher ; « Je viens avec mes enfants sur cette foire pour nous faire plaisir. On achète des crêpes et des bonbons. C'est aussi là que nous avons acheté nos cochons d'inde domestiques. Mais je regrette aussi que tous les bancs se ressemblent aujourd'hui en vendant des produits similaires en grande quantité. Cette braderie est devenue de nos jours un gros marché. Je regrette aussi qu'il n'y ait plus d'animaux, comme à l'origine de la foire qui était une foire aux chevaux ». NDR : a lasuite d'une erreur la déclaration parue précédemment en légende n'appartenait pas à Hélène Vaucher qui est en photo.
Hervé Malavialle (tourneur-fraiseur) de Reyssouze : « Je viens sur cette braderie tous les ans pour acheter des vêtements ethniques. Aujourd'hui j'ai acheté un sarouel (NDR : pantalon amble porté par les hommes dans les pays arabes) à un commerçant africain. Je mets ce genre de vêtements le week-end quand je suis cool à la maison. Ce n'est pas facile de trouver ce genre d'article, c'est pourquoi je viens à la Saint-François car on trouve de tout sur cette braderie ».
Jenny Bouvard : « Je suis venue ce matin mais je n'ai rien trouvé d'intéressant à part un grand foulard à 5 euros. Personnellement je trouve que les prix sont trop élevés pour une braderie. Les articles sont plus chers que sur les marchés. Pour mes achats d'hiver, je préfère revenir sur le marché de Pont-de-Vaux de mercredi prochain. Je suis sure que je trouverai ce que je cherche et une bonne qualité à des prix plus abordables ».