La Maison de l'eau et de la nature participe le samedi 7 octobre à la 26ème Fête de la science.

Après un été très actif en animations de toutes sortes : visites guidées et commentées des sites protégés et des zones humides du territoire, sorties en canoë sur la Saône sur les traces des castors, initiations à la pêche pour les enfants au plan d'eau avec le concours de l'Ablette bressane, visite de l'exposition inter active, balades avec visioguides le long du canal et en prairie etc... La Maison de l’eau et de la nature participe pour la 8ème année consécutive à la Fête de la science.

Comme les années précédentes Bénédicte Fourneau, chargée de mission à la communauté de communes Bresse et Saône, qui dirige cet établissement, a préparé pour la journée du samedi 7 octobre plusieurs animations gratuites s'adressant à tous les publics.

Programme :

De 10 heures à 20 heures :

« Le bio, les sales bêtes et nous ».

De 10 heures à 18 heures :

Exposition et quizz sur le bio, animés par les élèves de la Maison familiale rurale de

Bâgé-le-Châtel.

Stands de producteurs locaux : AMAP Nizerel et Ferme de la Peyrouze

Exposition : « La nature sur le pas de la porte » (réalisée par l’association Bourgogne Nature)

Projections : animaux mal aimés et alimentation bio

De 18 heures à 20 heures :

Apéro débat :

« Le bio en question : démêlons le vrai du faux ».

En France, l'agriculture biologique apparaît en 1981 et le label bio en 1994. Depuis, de nombreuses affirmations circulent et ne sont pas toujours vraies. Réputé pour avoir meilleur goût, être plus sain et plus respectueux de l'environnement, le bio fait face à certaines critiques : trop cher donc inabordable, aliments « bizarres », pas réellement meilleur pour la santé... Cet apéro-débat est l’occasion d’échanger en toute convivialité entre consommateurs, agriculteurs bio et acteurs contribuant à la consommation de produits bio locaux... Le public sera invité à dénouer les idées reçues sur l’agriculture et l’alimentation biologique. Cet apéro-débat sera animé par Florian Baralon, du Centre de Développement de l’Agroécologie (CDA)